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L'AFP demande à ses journalistes d'éviter les tweets sur Israël et Gaza

Dans un message envoyé à ses journalistes au sujet de "la situation en Israël et à Gaza", la direction de l'AFP demande aux journalistes de s'"abstenir de poster ou reposter sur les réseaux sociaux à titre individuel des contenus de l'AFP ou d'autres sources". Une précaution liée à la dangerosité extrême du terrain et à l'impossible exercice de neutralité aux yeux des différents partis.

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La propagande Israélienne à coups de trique. Pauvres Palestiniens abandonnés de tous.

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Merci profondément à toute l'équipe d'ASI de couvrir cette actualité brûlante. 


Il s'agit de véritables informations dans ce paysage médiatique étouffé.

"Ce mardi 10 octobre, un reporter du Phillyvoice de Philadelphie a été renvoyé pour s'être indigné, ce week-end, du soutien d'une équipe de basket à Israël et avoir exprimé sa "solidarité" envers la Palestine."


Ce reporter n'est pas le premier. Souven(...)

Derniers commentaires

"" Dans le sillage du 7 octobre, date des attaques menées par le Hamas contre des civil·es israélien·nes, ... ""

Ben, non.

"Dans le sillage du 7 octobre, date des attaques menées par le Hamas contre Israel etc..."

Parce qu'ils ont tapé sur tout ce qui bouge et qui était à portée, en plus des objectifs militaires sélectionnés...

Cette guerre civile ne s'est jamais embarrassée de principes. D'un coté comme de l'autre.

"Fauda" !

"Ce mardi 10 octobre, un reporter du Phillyvoice de Philadelphie a été renvoyé pour s'être indigné, ce week-end, du soutien d'une équipe de basket à Israël et avoir exprimé sa "solidarité" envers la Palestine."


Ce reporter n'est pas le premier. Souvenez-vous de cette orthophoniste, Bahia Amawi, dont le contrat a été dénoncé parce qu'elle avait refusé de se plier à l'exigence de l'état du Texas qui requérait de ses contractuels qu'ils signent un engagement à ne pas boycotter Israël ni aucune entreprise israélienne, à ne soutenir aucune organisation prônant le boycott d'Israël ou d'une entreprise israélienne. Aux USA, dans beaucoup d'états, il était alors possible de boycotter un autre état "américain", ou n'importe quel autre pays, à l'exception d'Israël.


Marc Lamont Hill, professeur d'université et contributeur de CNN, a été renvoyé de CNN le lendemain d'un discours aux Nations Unies en soutien aux droits des Palestiniens.


En novembre 2021, Natalie Abulhawa a été virée de son poste de coach sportif pour des tweets pro-palestiniens publiés plusieurs années auparavant.


En mai 2021, Emily Wilder a été renvoyée de l'agence Associated Press trois jours après que l'organisation des étudiants républicains (du Parti Républicain, évidemment) aient remis au jour d'anciens commentaires critiques d'Israël et de ses soutiens.


Et il y en a bien d'autres. Et bien entendu, tous sont accusés d'antisémitisme, quand bien même rien de ce qu'ils ont dit ou écrit ait quoi que ce soit d'antisémite. Même les Juifs qu'on s'empresse de qualifier de "self-hating Jew" dès qu'ils se permettent un peu d'indépendance d'esprit et critiquent un brin Israël. Nous en avons un exemple ici-même.


En 2021, 35 états des USA avaient voté des lois anti-BDS, avec le soutien des Démocrates autant que des Républicains. La plupart demandait aux personnes et entreprises travaillant pour l'état un engagement qu'elles ne boycottaient pas Israël ou une entreprise de ce pays, d'autres interdisaient tout investissement public dans une organisation boycottant Israël ou toute firme israélienne.

Merci profondément à toute l'équipe d'ASI de couvrir cette actualité brûlante. 


Il s'agit de véritables informations dans ce paysage médiatique étouffé.

La propagande Israélienne à coups de trique. Pauvres Palestiniens abandonnés de tous.

A qui on nie même le droit d'exprimer leurs points de vue.

L'absence de pluralité dans ces agences de presse n'est pas nouvelle. Censure ou autocensure sous peine d'être licencié?

Misère de l'information au service des puissants.

Trouver d'autres canaux pour pouvoir s'informer devient de plus en plus difficile.



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