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La blague Villepin, en tweets et en BD
Parmi les innombrables reproches adressés aux journalistes, figure parfois celui de la concision.
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Derniers commentaires
Barbier ,dindon prétentieux bien en cour,émetteur de pensées hasardeuses sur un ton définitif. Encore une fois,il a faux!
[quote=Le capitaine]Le journalisme politique ne devrait plus avoir le monopole du discours sur la politique
Un exemple pour illustrer ce propos: Qui a dit ce qui suit?
"il nous faut cette fois dire adieu pour de bon au gros édredon posé sur notre confort et nommé modèle social français. Qu'il était beau, cet alambic de générosités emmêlées, cet entrelacs de vases communicants ! Les actifs payaient pour les chômeurs, les bien portants pour les malades et les jeunes pour les vieux. Bricolé par tous les gouvernements, l'assemblage était devenu une usine à gaz mitée de fuites, mais crachait quand même son jus solidaire et ses vapeurs égalitaires. Il faut pourtant en finir, car les payants ne sont plus assez riches ni assez nombreux pour financer les payés."
Le Pen? Non. C'est lui, l'auteur de ces lignes.
On en est là, putain! entre Hitler et le Front Populaire, ils ont choisi leur camp.
Via Sébastien Fontenelle.
Un exemple pour illustrer ce propos: Qui a dit ce qui suit?
"il nous faut cette fois dire adieu pour de bon au gros édredon posé sur notre confort et nommé modèle social français. Qu'il était beau, cet alambic de générosités emmêlées, cet entrelacs de vases communicants ! Les actifs payaient pour les chômeurs, les bien portants pour les malades et les jeunes pour les vieux. Bricolé par tous les gouvernements, l'assemblage était devenu une usine à gaz mitée de fuites, mais crachait quand même son jus solidaire et ses vapeurs égalitaires. Il faut pourtant en finir, car les payants ne sont plus assez riches ni assez nombreux pour financer les payés."
Le Pen? Non. C'est lui, l'auteur de ces lignes.
On en est là, putain! entre Hitler et le Front Populaire, ils ont choisi leur camp.
Via Sébastien Fontenelle.
Galouzeau, par ses écrits, qui ne méritent pas une candidature à l' "habit vert", reste pour moi "l'Ampoulé Rôti" que décrivirent jadis avec talent Jourde et Nauleau. Rien que pour lui, ce matin, je me repasse "Partant pour la Syrie", l'air que les demi-soldes avaient élu en hymne au temps où la reine Hortense devenait l'égérie des bonapartistes. Il devrait en faire le "tube" de sa candidature. C'est bien allant...
Acrimed est une association (Thomas Legrand ne connait peut-être pas le sens de ce mot) de critique des médias. C’est-à-dire que nous observons collectivement les médias, que nous portons collectivement une critique et (c’est là que ça devient compliqué) que nous formulons collectivement des propositions afin de politiser la question des médias. Nous ne sommes pas comme le site d’@rrêt sur images – par exemple – qui propose de décrypter (souvent avec efficacité) l’univers des médias, nous nous efforçons d’en faire un sujet politique… parce qu’il en est un. (Julien Salingue et Mathias Reymond, À quoi sert Thomas Legrand ?, le 20 janvier 2012).
Le 9: 15 de ce matin permet opportunément de soumettre aux deux sites les deux questions suivantes:
- celle-ci, d'abord: quelle différence entre critique et décryptage ?: celui-ci serait-il neutre, et celle-là au contraire politiquement déterminée, sinon "engagée" ? La fin du texte cité ne laisse aucun doute sur la pensée du collectif d'Acrimed, laquelle conduit toutefois à la seconde question à devoir se poser:
- qu'entendre par "politique" : les points de suspension du texte dénotent l'indétermination de la notion sur laquelle débouche le collectif et corrobore l'aveu de "complication" qui les précède. Loin de le leur reprocher, il faut au contraire s'en féliciter. Car ainsi seulement peut-on échapper à l'embrigadement militant et au dogmatisme qui le définit. Encore faudrait-il cependant s'ordonner expressément à l'interrogation nécessaire en l'affaire. Sans quoi, l'on n'échapperait pas au rôle d' "idiots utiles" réservé par Lénine aux "intellectuels progressistes". Ce qui vaut, certes, moralement mieux que celui de "chiens de garde", mais peut être autrement ruineux - comme l'inventeur de cette seconde formule (Nizan) et, surtout, son "indiscernable" ami (Sartre), l'ont, malgré eux, démontré.
Le 9: 15 de ce matin permet opportunément de soumettre aux deux sites les deux questions suivantes:
- celle-ci, d'abord: quelle différence entre critique et décryptage ?: celui-ci serait-il neutre, et celle-là au contraire politiquement déterminée, sinon "engagée" ? La fin du texte cité ne laisse aucun doute sur la pensée du collectif d'Acrimed, laquelle conduit toutefois à la seconde question à devoir se poser:
- qu'entendre par "politique" : les points de suspension du texte dénotent l'indétermination de la notion sur laquelle débouche le collectif et corrobore l'aveu de "complication" qui les précède. Loin de le leur reprocher, il faut au contraire s'en féliciter. Car ainsi seulement peut-on échapper à l'embrigadement militant et au dogmatisme qui le définit. Encore faudrait-il cependant s'ordonner expressément à l'interrogation nécessaire en l'affaire. Sans quoi, l'on n'échapperait pas au rôle d' "idiots utiles" réservé par Lénine aux "intellectuels progressistes". Ce qui vaut, certes, moralement mieux que celui de "chiens de garde", mais peut être autrement ruineux - comme l'inventeur de cette seconde formule (Nizan) et, surtout, son "indiscernable" ami (Sartre), l'ont, malgré eux, démontré.
Laissons les morts ensevelir leurs morts (bis... ou ter, ou plus, je sais plus).
Sarko est en permanence présent toutes chaînes confondues ...Pour la troisième fois hier,je l'ai entendu prononcer ces propos hilarants..."et dire que carla croit que je travaille en ce moment". Et je voudrais répondre à ce journaliste qui prétendait qu'Hollande était inaudible,ou quelque chose de ce genre,qu'il suffirait de relayer ses propos...Et ceux de Mélenchon tant qu'on y est.Pour Le Pen et Bayrou,c'est déjà fait!
.Evidemment le président fait campagne en président et profite de ce privilège inouï pour jacter sur tout partout et à grands frais. Une bonne mesure d'égalité serait d'instituer une date limite de dépôt de candidature.POUR TOUS.
Quand à la phrase de Corine,je la trouve pertinente et drôle...
.Evidemment le président fait campagne en président et profite de ce privilège inouï pour jacter sur tout partout et à grands frais. Une bonne mesure d'égalité serait d'instituer une date limite de dépôt de candidature.POUR TOUS.
Quand à la phrase de Corine,je la trouve pertinente et drôle...
Comment, Daniel ? Vous êtes encore étonné de constater que les militants, notamment de gauche, ont une bien meilleure culture politique (et donc une analyse plus fine) que les journalistes ?
Après tout ce temps, vous auriez pu finir par comprendre, tout de même !
Après tout ce temps, vous auriez pu finir par comprendre, tout de même !
Tiens, pas un mot sur la fermeture de Megaupload dans votre billet matinal ...
Cette information me semble pourtant beaucoup plus importante que les claquements de portes du théâtre politique français.
PatriceNoDRM
Cette information me semble pourtant beaucoup plus importante que les claquements de portes du théâtre politique français.
PatriceNoDRM
Me suis bien marré ce matin en écoutant l’échange entre un auditeur mutin et Patrice Cohen. Mutin car il n’a pas posé la question annoncée, mais demandé pourquoi Inter n’avait pas informé ses auditeurs de la condamnation de Val pour le licenciement de Guillon.
Et là, surprise, Cohen ne l’a pas coupé comme il aurait pu le faire suite à la déloyauté du vilain valophobe, mais il a défendu le service public… sans un mot pour son boss.
Et l’invité Villepin de mettre son clou sur le cercueil en disant qu’il était contre le mode de nomination présimentiel de Hess !
(Lequel Villepin n’a pas de figure quand on voit comment il réagit au désistement de « mon ami Jean-Claude Carrière ». Bon, DGDV a tous les défauts de la terre, mais au moins une qualité : s’il peut candidater il piquera des voix à Foutriquet)
PS C’est moi, ou ASI ne dit rien du livre de Scalbert sur l’état actuel de France Inter ?
Et là, surprise, Cohen ne l’a pas coupé comme il aurait pu le faire suite à la déloyauté du vilain valophobe, mais il a défendu le service public… sans un mot pour son boss.
Et l’invité Villepin de mettre son clou sur le cercueil en disant qu’il était contre le mode de nomination présimentiel de Hess !
(Lequel Villepin n’a pas de figure quand on voit comment il réagit au désistement de « mon ami Jean-Claude Carrière ». Bon, DGDV a tous les défauts de la terre, mais au moins une qualité : s’il peut candidater il piquera des voix à Foutriquet)
PS C’est moi, ou ASI ne dit rien du livre de Scalbert sur l’état actuel de France Inter ?
Loin de moi l'idée dénigrer "Quai d'Orsay", le talent de Christophe Blain en particulier est incontestable mais cette succession de petites anecdotes ne laissent au final pas grand chose après digestion à part d'avoir jeter un oeil par la serrure sur les vies de ceux qui nous gouvernent. Je lui préfères de loin l'affaire des affaires de Astier et Denis Robert, un peu plus consistant.
Bon j'attends impatiemment l'emission sur les BD reporters avec Guy Delisle, Etienne Davodeau et Marzena Sowa. :-P
Bon j'attends impatiemment l'emission sur les BD reporters avec Guy Delisle, Etienne Davodeau et Marzena Sowa. :-P
Pour Villepin c'est effectivement effarant. Il faut toujours rappeler que cette personne n'a jamais été élu.
Maintenant quand on lit entre les lignes des nombreuses affaires sorties récemment, on se rend copte que le clan villepin a été un informateur pour couler Jospin puis sarkozy, certains journalistes savent renvoyer l'ascenceur.
Maintenant quand on lit entre les lignes des nombreuses affaires sorties récemment, on se rend copte que le clan villepin a été un informateur pour couler Jospin puis sarkozy, certains journalistes savent renvoyer l'ascenceur.
En plus de l'épiphénomène Villepin, est-ce que "lesmédias" ne sont pas en train de nous "vendre" une mayonnaise Bayrou qu'ils font monter pour avoir matière à débattre, le duel Sarko-Hollande n'étant plus tout à fait aussi porteur qu'ils le souhaiteraient ?