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Elkabbach, un jour et toujours
Jusqu'à Elkabbach ! Jusqu'à Elkabbach, qui s'approprie son petit morceau de la vraie croix mitterrandienne
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Derniers commentaires
Elkabbach, l'apparatchik de la planète média, le monsieur je sais tout... L'homme qui a contribué à poser définitivement le journaliste du côté de la sphère du pouvoir pour abandonner le peuple, considéré comme trop vulgaire...
Quel ridicule !
Il n'a jamais été le contributeur des puissants. À force de ramper, à force de cirage, il a toujours réussi à trouver une petite place, même dans le cendrier des puissants... Il ne sert à rien !!!
Il aurait pu passer l'interview de Taubira pour les dix ans de la loi sur l'esclavage... Ah non ! Il ne l'a pas interviewée ! Pas assez puissante...
Sur mon blog
Quel ridicule !
Il n'a jamais été le contributeur des puissants. À force de ramper, à force de cirage, il a toujours réussi à trouver une petite place, même dans le cendrier des puissants... Il ne sert à rien !!!
Il aurait pu passer l'interview de Taubira pour les dix ans de la loi sur l'esclavage... Ah non ! Il ne l'a pas interviewée ! Pas assez puissante...
Sur mon blog
Je dirais bien ce que je pense d' Elkabbach, mais depuis la fameuse "affaire du déversoir"... je préfère me retenir.
D'ailleurs, ça vaut aussi pour Charasse et la fin de règne de Mitterrand..
D'ailleurs, ça vaut aussi pour Charasse et la fin de règne de Mitterrand..
El Kabbach quand Sarko ne sera plus là... il devra partir...
Trop lèche botte, le journalisme n'est plus un 4ème pouvoir mais un "pouvoir" à la botte du pouvoir politique.
SEMIR
Trop lèche botte, le journalisme n'est plus un 4ème pouvoir mais un "pouvoir" à la botte du pouvoir politique.
SEMIR
Une petite suggestion, qui vaut ce qu'elle vaut, hein, c'est juste pour aider : si vous invitez Elkabbach, le forum sur les RGPP (avant censure) passera pour une aimable bluette.
Parmi les mensonges de l'itv de Mitterrand : le Maréchal Pétain parrain de Philippe de Gaulle, faux c'étzit Xavier de Gaulle le parrain.
Autrement la tontonmania commence à me gonfler sérieusement... J'en peux plus de revoir le visage pixellisé de tonton avec le drapeau tricolore, j'en peu plus de revoir le cacochyme et valétudinaire Séguéla la ramener avec son slogan, j'en peux plus de voir les socialistes en mal d'idées se réapproprier l'héritage de Mitterrand...
A-t-on oublié les zones d'ombre qui entachent le règne de tonton ? 2 suicides (Grossouvre, Bérégovoy), un plan de rigueur, la fermeture des mines ds le nord, le Rainbow warrior et toutes les autres affaires pas claires impliquant les services secrets, le rwanda, Mazarine, vichy, Bousquet, les écoutes...
Autrement la tontonmania commence à me gonfler sérieusement... J'en peux plus de revoir le visage pixellisé de tonton avec le drapeau tricolore, j'en peu plus de revoir le cacochyme et valétudinaire Séguéla la ramener avec son slogan, j'en peux plus de voir les socialistes en mal d'idées se réapproprier l'héritage de Mitterrand...
A-t-on oublié les zones d'ombre qui entachent le règne de tonton ? 2 suicides (Grossouvre, Bérégovoy), un plan de rigueur, la fermeture des mines ds le nord, le Rainbow warrior et toutes les autres affaires pas claires impliquant les services secrets, le rwanda, Mazarine, vichy, Bousquet, les écoutes...
A propos de Mitterrand et des journalistes révérencieux et irrévérencieux, voici de l'or en barre :
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Franck Johannès, Le Monde
jeudi 10 février 2005,
Au dernier jour des auditions, le tribunal a visionné une interview de l’ancien président, réalisée par des journalistes belges. Ils ont été les seuls à évoquer les écoutes devant le chef de l’ État, qui assurait n’en avoir "jamais lu une seule".
Le tribunal s’est offert une petite distraction, mercredi 9 février, au dernier jour des auditions du procès des écoutes de l’ Élysée, en regardant le seul entretien que le président François Mitterrand ait jamais accordé sur la question. D’assez mauvaise grâce, à l’évidence, d’autant que les deux impertinents journalistes belges ne l’avaient pas prévenu.
L’image est terrible. Le président assure avec aplomb qu’il "n’a jamais lu une seule" écoute, alors que les débats ont prouvé à satiété qu’il en avait vu passer des dizaines et en avait personnellement ordonné au moins deux, celles du journaliste du Monde Edwy Plenel et du romancier Jean-Edern Hallier.
L’interview, "mythique" selon le magazine de M6 "Secrets d’actualité", qui l’a disséquée le 14 novembre 2004, à la veille du procès, a été tournée en mars 1993. Au premier jour de la deuxième cohabitation. François Mitterrand, extrêmement tendu et rongé par la maladie, se préparait à son premier conseil des ministres avec la nouvelle majorité de droite pendant que Michel Rocard essayait de prendre le pouvoir au Parti socialiste. Les deux journalistes de la RTBF, qui avaient passé quarante-cinq jours en toute liberté à l’Élysée, avaient fixé un ultime rendez-vous avec le chef de l’Etat.
A la première question sur les écoutes, François Mitterrand se ferme. "L’Élysée n’écoute rien, répond-il. Il n’y a pas de service d’écoutes à l’Elysée. Le système d’écoute dépend du premier ministre." Il affirme ne pas savoir où il se trouve géographiquement. Au GIC, en fait, le groupement interministériel de contrôle, sous les Invalides, dont François Mitterrand connaît bien sûr l’existence, et même le patron, le colonel Pierre Charroy. "Moi, personnellement, reprend le chef de l’Etat, je n’en ai pas lu une seule."
"UN PETIT PAS"
Les deux journalistes insistent : les révélations sur l’existence des écoutes ont-elles joué un rôle dans la campagne des législatives ? "Zéro. Zéro, assure le président, passablement agacé. C’est nous qui avons installé et pratiquement défini toutes les libertés publiques en France. Si j’avais su qu’on allait tomber dans ces bas-fonds, je n’aurais pas accepté de vous recevoir."
L’un des journalistes aggrave son cas en posant une question sur la remise d’une décoration à Christian Prouteau, le chef de la cellule. "Vous que rien n’autorise..., s’empourpre le chef de l’Etat. On s’enfonce encore un peu plus. Je n’ai pas l’intention de répondre à vos questions. C’est terminé, si vous le voulez bien, nous allons nous séparer. Je ne pensais pas qu’on allait tomber dans un tel degré de vilenie. Merci, c’est terminé." Et le président appuie sur un bouton pour appeler les huissiers.
(Johannès, homme courtois qui répond quand on lui écrit. Bon, n'en profitez pas pour l'inonder de courriels, il me tuerait !)
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Franck Johannès, Le Monde
jeudi 10 février 2005,
Au dernier jour des auditions, le tribunal a visionné une interview de l’ancien président, réalisée par des journalistes belges. Ils ont été les seuls à évoquer les écoutes devant le chef de l’ État, qui assurait n’en avoir "jamais lu une seule".
Le tribunal s’est offert une petite distraction, mercredi 9 février, au dernier jour des auditions du procès des écoutes de l’ Élysée, en regardant le seul entretien que le président François Mitterrand ait jamais accordé sur la question. D’assez mauvaise grâce, à l’évidence, d’autant que les deux impertinents journalistes belges ne l’avaient pas prévenu.
L’image est terrible. Le président assure avec aplomb qu’il "n’a jamais lu une seule" écoute, alors que les débats ont prouvé à satiété qu’il en avait vu passer des dizaines et en avait personnellement ordonné au moins deux, celles du journaliste du Monde Edwy Plenel et du romancier Jean-Edern Hallier.
L’interview, "mythique" selon le magazine de M6 "Secrets d’actualité", qui l’a disséquée le 14 novembre 2004, à la veille du procès, a été tournée en mars 1993. Au premier jour de la deuxième cohabitation. François Mitterrand, extrêmement tendu et rongé par la maladie, se préparait à son premier conseil des ministres avec la nouvelle majorité de droite pendant que Michel Rocard essayait de prendre le pouvoir au Parti socialiste. Les deux journalistes de la RTBF, qui avaient passé quarante-cinq jours en toute liberté à l’Élysée, avaient fixé un ultime rendez-vous avec le chef de l’Etat.
A la première question sur les écoutes, François Mitterrand se ferme. "L’Élysée n’écoute rien, répond-il. Il n’y a pas de service d’écoutes à l’Elysée. Le système d’écoute dépend du premier ministre." Il affirme ne pas savoir où il se trouve géographiquement. Au GIC, en fait, le groupement interministériel de contrôle, sous les Invalides, dont François Mitterrand connaît bien sûr l’existence, et même le patron, le colonel Pierre Charroy. "Moi, personnellement, reprend le chef de l’Etat, je n’en ai pas lu une seule."
"UN PETIT PAS"
Les deux journalistes insistent : les révélations sur l’existence des écoutes ont-elles joué un rôle dans la campagne des législatives ? "Zéro. Zéro, assure le président, passablement agacé. C’est nous qui avons installé et pratiquement défini toutes les libertés publiques en France. Si j’avais su qu’on allait tomber dans ces bas-fonds, je n’aurais pas accepté de vous recevoir."
L’un des journalistes aggrave son cas en posant une question sur la remise d’une décoration à Christian Prouteau, le chef de la cellule. "Vous que rien n’autorise..., s’empourpre le chef de l’Etat. On s’enfonce encore un peu plus. Je n’ai pas l’intention de répondre à vos questions. C’est terminé, si vous le voulez bien, nous allons nous séparer. Je ne pensais pas qu’on allait tomber dans un tel degré de vilenie. Merci, c’est terminé." Et le président appuie sur un bouton pour appeler les huissiers.
(Johannès, homme courtois qui répond quand on lui écrit. Bon, n'en profitez pas pour l'inonder de courriels, il me tuerait !)
"Mougeotte, au moins, est fidèle à son histoire"
j'ai entendu l'autre fois, à la télé, qu'il était ancien trotskiste...
j'ai entendu l'autre fois, à la télé, qu'il était ancien trotskiste...
Voté pour le matinaute, mais
-j'aurais aimé qu'il s'indignât de l'hystérie médiacratique actuelle (quoique, après le mariage du siècle, le béat, le bébé(?) il fallait bien trouver quelque chose pour faire croire que les français n'ont pas de vraies préoccupations,
-"ex-organisateur" : non, non et non il l'est toujours et à jamais.
Elkabbach? Il n'est pas encore mort?
Dans l'hystérie du jour, entendu ce matin un journaliste d'Inter essayant de se démarquer et expliquant pourquoi au trentième et pas au vingtième : parce que se profile aujourd'hui 2012. Franchement, un journaliste peut-il assez bête, ou oublieux, pour ignorer qu'après 2001, il y avait 2002? On a bien raison de ne guère leur faire confiance!
-j'aurais aimé qu'il s'indignât de l'hystérie médiacratique actuelle (quoique, après le mariage du siècle, le béat, le bébé(?) il fallait bien trouver quelque chose pour faire croire que les français n'ont pas de vraies préoccupations,
-"ex-organisateur" : non, non et non il l'est toujours et à jamais.
Elkabbach? Il n'est pas encore mort?
Dans l'hystérie du jour, entendu ce matin un journaliste d'Inter essayant de se démarquer et expliquant pourquoi au trentième et pas au vingtième : parce que se profile aujourd'hui 2012. Franchement, un journaliste peut-il assez bête, ou oublieux, pour ignorer qu'après 2001, il y avait 2002? On a bien raison de ne guère leur faire confiance!
Vous noterez que le matinaute n'a pas écouté france inter ce matin. :o)
Tout à fait d'accord avec clomani et compunet !
et j'ajouterai : "qu'ils s'en aillent tous !" bon vent !
Brassens que je suis allée retrouver à la cité de la musique, lisait une fois par an le livre de Claude Tillier "mon oncle Benjamin" admirablement incarné par Jacques Brel dans les années 70.
Claude Tillier a été instituteur et journaliste, il s'est montré rebelle à toutes les formes d'autorité... dit sommairement la quatrième de couverture.
Brassens, lui, déclare : " quiconque n'a pas lu "mon oncle Benjamin" ne peut se dire de mes amis"
Benjamin Rathery un bel impertinent qu'il faudrait mettre entre toutes les mains de ces lavettes !
et j'ajouterai : "qu'ils s'en aillent tous !" bon vent !
Brassens que je suis allée retrouver à la cité de la musique, lisait une fois par an le livre de Claude Tillier "mon oncle Benjamin" admirablement incarné par Jacques Brel dans les années 70.
Claude Tillier a été instituteur et journaliste, il s'est montré rebelle à toutes les formes d'autorité... dit sommairement la quatrième de couverture.
Brassens, lui, déclare : " quiconque n'a pas lu "mon oncle Benjamin" ne peut se dire de mes amis"
Benjamin Rathery un bel impertinent qu'il faudrait mettre entre toutes les mains de ces lavettes !
si je fais le point après toutes ces années : 1981-2011, force est de constater que politiques comme journalistes sont indéboulonnables du PAF et que seule la mort peut les faire taire !!
ce sont finalement toujours les mêmes qui forment une petite caste qui s'auto-congratule ou s'auto-vitupère selon ce que le peuple attend en prime-time !!
et quand des d'jeunz font leur apparition dans la lucarne genre Legrand ou Demorand, ils font plus ringards que leurs prédécesseurs !!
journalistes radio-télé et politicards récidivistes sont tous de la même clique, bof !!
ce sont finalement toujours les mêmes qui forment une petite caste qui s'auto-congratule ou s'auto-vitupère selon ce que le peuple attend en prime-time !!
et quand des d'jeunz font leur apparition dans la lucarne genre Legrand ou Demorand, ils font plus ringards que leurs prédécesseurs !!
journalistes radio-télé et politicards récidivistes sont tous de la même clique, bof !!
Ce que je trouve très très consternant, c'est qu'Elkabbach soit ENCORE sur la scène médiatico-politique après avoir été conspué par le petit peuple 30 ans plus tôt.
Entre 70 et 81, il a fait des allées et venues entre Radio-France et Antenne 2...
Tant que nous aurons des Elkabbach, des PPDA, des Druckers et autres qui phagocyteront les media, nous continuerons à être gavés d'information-gadget et à aller voter comme les boeufs vont à l'abattoir !
Virons tous ces valets incapables d'une quelconque irrévérence !
Entre 70 et 81, il a fait des allées et venues entre Radio-France et Antenne 2...
Tant que nous aurons des Elkabbach, des PPDA, des Druckers et autres qui phagocyteront les media, nous continuerons à être gavés d'information-gadget et à aller voter comme les boeufs vont à l'abattoir !
Virons tous ces valets incapables d'une quelconque irrévérence !
"Que nous dit l'éternelle résurrection d'Elkabbach ? Que tous les pouvoirs ont besoin d'un Elkabbach."
Et que les journalistes les plus dangereux pour eux seraient (j'emploie le conditionnel car il n'existent pas en France) sur le modèle de ceux de la RTBF que j’évoquais il y a déjà quelques années :
//Message censuré à deux reprises sur le blogue François Mitterrand 2007. pourtant, il n’insulte ni l’auteur du blogue ni des posteurs, et il en parle que de faits vérifiés (fille cachée, affaires, ITW de la RTBF). Ces gens (ceux de ce blogue soi-disant de gauche) ne valent pas mieux que le Grand Contrôleur des Médias depuis son yacht de Malte.
...................................................................................
Vie privée, mon Mimi qui êtes-aux-cieux, tu es mal placé pour faire la leçon à quiconque !
Car la façon dont tu as protégé ta fille cachée, hypocrite de vrai-faux catho, nous a valu une belle collection d'affaires bien sordides !
Ce que tu n'as pas pu cacher (enfin, seulement aux Belges*) c'est cette ITW de la RTBF ou enfin des journalistes, il est vrai moins trouillards que les nôtres, avaient réussi à arracher ton masque ! (Affaire des Irlandais de Vincennes.)
* Cette précision parce que nous, pauvres Français manipulés par des médias n'ayant pas attendu l'An I du règne de Nicolas 1er pour être complaisants, nous n'avons jamais vu ça de ton vivant. Ah, maintenant que tu ne leur fais plus peur, ils la ressortent régulièrement. Ces trucs là (les journalistes) c'est comme les petits chiens : ça n'aboie que de loin.//
PS Si vous avez envie de vomir, écoutez Charasse sur Inter (9h50 etc.)
Et que les journalistes les plus dangereux pour eux seraient (j'emploie le conditionnel car il n'existent pas en France) sur le modèle de ceux de la RTBF que j’évoquais il y a déjà quelques années :
//Message censuré à deux reprises sur le blogue François Mitterrand 2007. pourtant, il n’insulte ni l’auteur du blogue ni des posteurs, et il en parle que de faits vérifiés (fille cachée, affaires, ITW de la RTBF). Ces gens (ceux de ce blogue soi-disant de gauche) ne valent pas mieux que le Grand Contrôleur des Médias depuis son yacht de Malte.
...................................................................................
Vie privée, mon Mimi qui êtes-aux-cieux, tu es mal placé pour faire la leçon à quiconque !
Car la façon dont tu as protégé ta fille cachée, hypocrite de vrai-faux catho, nous a valu une belle collection d'affaires bien sordides !
Ce que tu n'as pas pu cacher (enfin, seulement aux Belges*) c'est cette ITW de la RTBF ou enfin des journalistes, il est vrai moins trouillards que les nôtres, avaient réussi à arracher ton masque ! (Affaire des Irlandais de Vincennes.)
* Cette précision parce que nous, pauvres Français manipulés par des médias n'ayant pas attendu l'An I du règne de Nicolas 1er pour être complaisants, nous n'avons jamais vu ça de ton vivant. Ah, maintenant que tu ne leur fais plus peur, ils la ressortent régulièrement. Ces trucs là (les journalistes) c'est comme les petits chiens : ça n'aboie que de loin.//
PS Si vous avez envie de vomir, écoutez Charasse sur Inter (9h50 etc.)
; Des Elkabbach,on en croise tous les jours pour peu qu'on fréquente france inter ou les chaînes publiques...Chez Calvi, ils pérorent régulièrement....On aura l'embarras du choix pour remplacer la très mauvaise Charlotte Lebon à la météo du grand journal sur Canal +...