En Grèce, avis de tempête en bord de mer
Pour Yorgo et Eleftheria, Syriza, c'est l'espoir
L’autoroute glisse vers la mer en fendant le Péloponnèse. Cette route qui part d’Athènes a dix ans seulement, et permet de rejoindre Filiatra en trois heures trente au lieu de cinq auparavant. C’est bête : les trente derniers kilomètres sont toujours en construction. Depuis un an, le chantier est en suspens. Manque de moyens ? Personne ne sait.
On rejoint les petites routes bordées de lauriers roses ou blancs. Les cyprès ont les allures fières de la Méditerranée. A l’entrée de Filiatra, surprise : une tour Eiffel, certes bien plus petite que l’originale, mais ça surprend. Avant la première guerre mondiale, me raconte Kall...
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