Zara, ou l'horreur des autres
chronique

Zara, ou l'horreur des autres

Ce magnifique festival permanent de préjugés sociaux qui s'appelle Twitter ! Aux premières heures du déconfinement, hier matin, à Bordeaux, Lyon ou Paris, se forment des files d'attente devant les magasins d'habillement Zara. Elles observent sagement les marquages au sol, ne sont pas tellement plus longues que n'importe quelle file sagement distanciée, mais font impression, par exemple sur un reporter de LCI à Bordeaux.

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