Il valide ainsi une première qui a eu lieu lorsque la justice britannique a statué sur la remise en liberté conditionnelle de Julian Assange (Wikileaks), le 15 décembre. Le juge avait autorisé le public à rendre compte de l'audience sur Twitter, mais une décision inverse avait été rendue deux jours plus tard, lors de l'audience de l'appel.

La décision du Lord Chief Justice précise que l'autorisation sera délivrée au cas par cas par le juge présidant l'audience. Une autorisation qui pourra être immédiatement suspendue si elle perturbe le bon déroulement du procès, ou si l'usage des téléphones mobiles de type smartphone interférait avec le système d'enregistrement des débats. L'usage pourra aussi être réservé aux journalistes, si un juge décide de l'interdire au public, détaille un article de The Independent.

The Independent mardi 21 décembre 2010