L'accès à la partie abonnés se fait à travers des pages spéciales.

Dans une interview à BBC Radio, James Harding, le patron de la rédaction du Times explique "Nous pensons que c'est le bon moment pour arrêter d'offrir gratuitement notre travail. Car cela mine la valeur du journalisme, la valeur du Times, ainsi que l'idée que le journalisme et l'information ont une valeur." Mais selon la BBC, Hardings reconnaît que "changement comporte des risques, car beaucoup de lecteurs seront perdus". Une perte qui pourrait monter jusqu'à 90% du lectorat en ligne actuel, qui est de 1,22 million de lecteurs/jour. Le quotidien américain Wall Street Journal qui fait partie du même groupe de presse, revendique 407 000 abonnés payants.